Trouver une bonne idée d’article, ça n’est jamais simple. Cependant, le SEO peut nous aider ! Pour ceci, partons d’un thème que nous voulons aborder. En lançant une recherche autour d’un sujet sous la forme de mot-clé, on peut trouver assez facilement un bon mot-clé principal pour un nouvel article.
Par exemple, dans notre dernier article : “On a testé pour vous le top 3 des plateformes de webinar”, notre mot-clé principal était, sans surprise… “test plateforme webinar” !
Pour s’aider à choisir le bon mot-clé, nous n’avons pas trouvé mieux que Ahrefs qui permet de voir l’évolution des différents mots-clés avec leur coût par clic, leurs éventuels sujets associés, le volume de recherches… Si vous avez déjà vu le type d’article que vous souhaitez rédiger en ligne, n’hésitez pas également à analyser leur positionnement : sur quel mot-clé se sont-ils positionnés ?
tableau-mots-clés-seo
Pour trouver un premier aperçu de mots-clés pertinents, vous pouvez utiliser Google Ads et son outil Keyword Planner (Planificateur de mots-clés) ou l’extension gratuite Keywords Everywhere.
Nous avons aussi été tentés de nous positionner sur des mots-clés avec un très gros volume, mais :
Le mieux : miser sur les mots-clés de longue traîne ! Ces mots-clés, longs de plus de trois mots, répondent à des besoins ou questions plus spécialisées. La concurrence y est moindre, et on a plus de chance de capter un public qui nous correspond.
Les mots-clés en eux-mêmes ne suffisent pas. Un champ sémantique est un ensemble de mots associés à un thème en particulier, et va renforcer le SEO notre article. Une fois notre mot-clé principal trouvé, il nous manque :
Pour avoir une bonne idée des questions posées par les internautes sur votre mot-clé, Google est votre ami ! Les sections “autres questions posées” sous vos premiers résultats et “recherches associées” en bas de page sont des mines d’informations : thèmes, mots-clés… Et sont utiles pour élaborer un plan qui colle aux attentes des utilisateurs.
autres-questions-posées-seo
Chacun des mots-clés secondaires identifiés devient une des “têtes” de notre champ sémantique. Un outil comme 1.fr nous permet alors de sortir des listes de mots souvent associés sur le web à chacune de nos recherches. En quelques clics, nous pouvons avoir :
Par exemple, pour un article dont le mot-clé principal est “article SEO”, nous avons :
Nous avons donc sous les yeux plusieurs listes de mots-clés conséquentes, dont beaucoup se recoupent. Nous pouvons donc garder un œil dessus pendant la rédaction ou les transmettre à notre rédactrice, pour les rajouter dans le texte de façon naturelle, lorsque nous le pouvons !
En prenant en compte ces considérations aussi tôt, nous nous évitons des grosses réécritures ou des ajouts au chausse-pied : la structure de l’article répond à ces questions, et la liste de mots est une bonne aide à la rédaction.
Les algorithmes des moteurs de recherche comme Google s’appuient sur leur compréhension du texte pour classer les articles. Plus il est compris, mieux il sera référencé. Pour ceci, il faut respecter quelques règles d’or et garder les éléments suivants :
titres-articles-seo
N’ayez pas peur des balises ! En sélectionnant “Titres 1” et “Titre 2” dans WordPress ou votre éditeur d’articles, les balises s’ajouteront automatiquement.
Notre petit conseil : dans des articles très longs, les ancres (présentes dans l’intro pour permettre aux lecteurs d’aller directement à la section qui les intéresse) permettent de rajouter des mots-clés et de faciliter la lecture.
Par ailleurs, il faut savoir que Google Bert, l’algorithme de Google, n’est capable d’analyser qu’un nombre limité de groupes de mots clés dans son analyse sémantique. Plus vous découpez votre texte avec des titres, plus vous maximisez vos chances d’être bien compris des petits robots Google….
Rajouter des images et vidéos dans son article est une très bonne façon de booster son référencement naturel. Google adore les articles bien illustrés, c’est carrément plus agréable à la lecture, alors, ne nous gênons pas ! De notre côté, c’est systématique.
Cette manipulation permet d’être également référencé dans Google Images, ce qui ramène aussi du trafic web de visiteurs qui ne nous auraient peut-être pas trouvé autrement : raison également pour faire des visuels avec notre marque et faciles à identifier.
Chose importante : Google ne “voit” pas les images, seulement les descriptions que l’on en fait. Dans sa balise de description, nous décrivons de façon brève chaque image, en une phrase compréhensible. Si l’on peut également ajouter un mot-clé pertinent, nous le faisons, mais ne cherchons pas à bourrer l’espace de mots-clés. Non seulement c’est pénalisé par l’algorithme, mais ça n’est surtout pas sympa pour nos lecteurs malvoyants.
Pour ne pas ralentir le temps de chargement, nous compressons toujours nos images : chez Plezi, on passe par TinyPNG, mais les solutions gratuites sont abondantes.
Le maillage interne consiste à lier plusieurs de nos articles entre eux, quand leurs thématiques sont proches. D’un point de vue lecteur, c’est plus fluide : libre aux internautes de passer d’article en article et de se renseigner en profondeur sur tous nos sujets.
Préparer son maillage interne lors du brief sauve un temps précieux de conception. En effet, en cherchant à quels articles nous pourrions lier notre nouveau contenu, nous pouvons ainsi :
D’un point de vue SEO, c’est aussi essentiel : les robots de Google se perdent entre toutes les pages de notre site. Leur proposer des liens les aide à faire remonter des ensembles d’articles et, d’une certaine façon, leur prouve notre expertise sur certains sujets et leur permet de comprendre comment est construit notre site .
Ainsi :
Par exemple, pour cet article, nous lions tout au long de notre plan d’autres contenus qui pourraient vous intéresser, sur le même sujet, comme par exemple un lien vers comment créer un cocon sémantique. L’important : rester sur des suggestions pertinentes et ne pas utiliser systématiquement les mêmes termes pour créer des liens internes : Google n’aime pas qu’on essaye de le piéger !
La meta description (ou “extrait” si on utilise WordPress) est un petit texte décrivant notre article , censé accrocher l’attention des lecteurs.
Avec la balise “Title” dont on parlait tout à l’heure, ce sont des éléments qui apparaissent uniquement dans les résultats de moteurs de recherche.
On peut rédiger jusqu’à 300 caractères mais seules les 160 premiers apparaissent en sous-titre dans Google. Le mieux : une description claire qui donne envie de lire et place notre mot-clé principal. Avec la pratique, promis, ça devient de plus en plus facile !
La balise Title, l’URL et la méta description sont les trois éléments qui sont le plus souvent pris en compte pour le référencement. Générée automatiquement, on a tendance à oublier l’URL, et pourtant ! En changeant quelques paramètres, elle peut nous faire monter de quelques places dans le classement.
Notre URL doit être courte et contenir notre mot-clé principal. Notre conseil : évitez tous les articles ou pronoms “le”, “la”, “au”, “du”… qui comptent pour du beurre en référencement mais coûtent des précieux caractères. Par exemple, si notre article s’appelle : “Les 10 fondamentaux pour optimiser votre article pour Google”, notre URL sera : “fondamentaux-optimiser-article-Google”.
En moyenne, les articles sont considérés comme SEO friendly à partir de 880 mots. Cette tendance évolue cependant : priorité est donnée au slow content, aux articles plus longs qui prennent le temps de développer leur sujet. De ce fait, un article a bien plus de chances d’être référence s’il tourne autour des 2000 mots.
La clé : ne pas hésiter à passer du temps pour créer des contenus travaillés et de qualité, adaptés à notre cible… quitte à en faire moins. Attention cependant à ne pas faire des longueurs pour ne rien dire. Il vaut mieux un article qui répond à la problématique du visiteur en 300 mots qu’un article de 2000 mots qui le perde !
Avant la publication, passer de nouveau son article à la moulinette SEO peut permettre quelques ajustements de dernière minute qui font gagner en positionnement. Lorsqu’il est rédigé, copiez votre texte dans votre outil d’optimisation préféré pour évaluer votre positionnement estimé.
En fonction des suggestions de votre outil, nous pouvons faire quelques ajustements, remplacer des mots par leurs synonymes, mieux tourner certaines phrases… A condition, bien sûr, de toujours garder en tête les intentions de nos prospects et de n’ajouter que les mots-clés les plus pertinents. Nous n’écrivons pas pour Google, mais pour des gens !
Avec la Google Search Console, vous verrez aussi grâce à ce tuto comment trouver de nouvelles intentions auxquelles vous n’auriez pas pensé ! L’occasion de mettre à jour l’article ou d’en créer de nouveaux.
On ne va pas se mentir, si vous avez déjà lu des articles qui parlent du sujet que vous voulez aborder, ne passez pas à côté ! Nous lisons des articles de nos concurrents, partenaires et sources d’inspiration pour mieux comprendre comment tel ou tel sujet a été abordé et comment. L’essentiel est de ne pas tomber dans la paraphrase ou le duplicate content, qui ne font que rajouter du bruit au bruit.
C’est ce que Rand Fishkin nous conseille : créer des contenus 10 fois meilleurs que ceux de nos concurrents pour nous démarquer. C’est la seule condition pour laquelle on a le droit d’aller voir ce qui se fait ailleurs ! 👀
Franchement, le SEO, ça n’est pas si compliqué que ça. L’essentiel, c’est d’y penser en amont de la conception de l’article pour se faciliter la tâche par la suite. En suivant nos conseils, vous avez déjà fait le plus gros du travail.
Vous pouvez ensuite, une fois la publication faite, booster votre référencement avec notre checklist SEO du nouveau contenu. Vous verrez, au bout de quelques fois, ça se fait naturellement… et vos résultats parleront d’eux-mêmes !
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Bienvenue dans cet article où je vais vous donner les 10 meilleurs conseils pour écrire un article bien référencé sur votre site internet. En tant qu’expert en SEO, j’ai travaillé avec de nombreux clients pour les aider à améliorer leur classement dans les moteurs de recherche. Voici mes conseils pour vous aider à écrire un contenu optimisé pour le référencement :
En suivant ces conseils, vous pouvez créer du contenu de qualité qui est optimisé pour le référencement. N’oubliez pas que le contenu est roi et que la qualité doit être votre priorité absolue. Chez Webizer, nous sommes là pour vous aider à créer un contenu de qualité et à améliorer votre référencement.
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